Le pays pourrait s’ouvrir à d’autres partenaires sous le mandat de son nouveau Président et laisser Paris dans le rétroviseur, a déclaré à Sputnik le politologue sénégalais Omar Ndiaye.
Selon lui, l’intensification du discours anti-français en Afrique, notamment francophone, s’explique par les accusations portées contre Paris de monopolisation des ressources, de contrôle des politiques économiques, et surtout de soutien aux dirigeants africains pro-français.
La Russie, la Chine, l’Inde et la Turquie pourraient profiter de nouvelles collaborations, ajoute-t-il.
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