La Cour a estimé que l’État ivoirien n’avait pas violé les droits de l’ancien Président.
« N’ayant pas constaté de violations à l’égard du Requérant, la Cour a rejeté les demandes de réparations », explique un communiqué de l’institution.
L’ex-dirigeant avait été condamné en 2018 à 20 ans de prison et à la privation de ses droits civiques. Le Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire l’a cependant investi candidat pour l’élection présidentielle d’octobre 2025.
Pour autant, début juin, la Commission électorale indépendante ne l’a pas inscrit sur la liste électorale définitive.
@sputnik_afrique