Voici ce que la Haute Autorité de la Communication a « relevé et regretté » dans le reportage du 5 juillet:
la « diffusion d’informations inexactes et non recoupées »;
le « manque d’équilibre » dans la présentation des faits.
Le régulateur a ainsi demandé au média français de traiter les informations sur la Guinée « avec beaucoup plus de professionnalisme et surtout d’impartialité ».
@sputnik_afrique