La Commune Rurale de Khorira, dans la préfecture de Dubréka, a tenu sa première session budgétaire, ce Mardi, 08 avril 2025 à la mairie de ladite Commune. Cette cérémonie a regroupé les membres de la délégation spéciale, les autorités préfectorales, les services déconcentrés sous-préfectorales, les acteurs de la société civile, les entreprises de la place et les conseils des 13 districts issus de ladite Commune Rurale. Elle a été présidée par le secrétaire général des collectivités de Dubréka, Almamy Alya Camara.
Pendant cette rencontre, le président de la délégations spéciale de la Commune Rurale de Khorira, Issiaga Soumah s’est t’expliqué n ces termes : << L’objectif de cette session budgétaire, est de débattre et adopter le compte administratif et deuxièmement, discuter aussi et adopter la nouvelle nomenclature et egalement le PAI de la Commune Rurale de Khorira >>, a-t-il affirmé avant d’ajouté: << Donc, ceux que nous attendons à la sortie de cette première session budgétaire, que les problèmes qui seront discutés ici, que nous puissions trouver les solutions immédiates à ces problèmes et que ça tombe dans les bonnes oreilles. Et aussi que ce que nous projetons soient réaliser à un délai raisonnable, sous la protection du Président de la République, le Général Mamadi Doumbouya >>, a-t-il souligné.
Quant au représentant du préfet de Dubréka, le Colonel Aboubacar Sidiki Traoré, a déclaré : << Au terme de cette première session, les différents points ont été examinés, à savoir : le budget primitif.
A cette occasion, il a lancé un message pressent a tout le monde : << je profite de votre micro, pour saluer les acquis qui sont en train d’être réalisés par le gouvernement du CNRD, avec à sa tête, le Général des corps d’armées, Mamadi Doumbouya, qui est en train de mener des actions majeures en faveur des populations, par ce que la Commune, elle seule, ne peut pas arriver à ces résultats sans l’accompagnement de l’état. C’est vrai que la décentralisation, c’est la personne juridique et leur autonomisation. Mais, l’état est toujours là à travers l’Anafic >>, a-t-il conclu
Mohamed Lamine Dramé pour radio-kanka.com