L’ancien président George M. Weah a accusé l’administration de Joseph Boakai de « porter atteinte » à l’État de droit en se lançant dans une « chasse aux sorcières » contre les fonctionnaires qui ont servi pendant son mandat, menaçant d’utiliser des moyens à la fois « juridiques et politiques ». pour résister aux appels à leur arrestation.
Le ministre de l’Information, Jerolinmek M. Piah, a toutefois nié cette affirmation de chasse aux sorcières, soulignant que les responsables des institutions d’intégrité qui ont mené les enquêtes qui ont conduit aux arrestations ont été nommés par l’administration Weah et non par Boakai.
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